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ANTONIN ARTAUD / VINCENT VAN GOGH
CINÉ ROMAN • CINÉ PEINTURE
Florence de Mèredieu
« Exprimer l’amour de deux amoureux par un mariage de deux complémentaires, leur mélange et leurs oppositions, les vibrations mystérieuses des tons rapprochés. » (Vincent Van Gogh)
« … au milieu d’un bombardement comme météorique d’atomes qui se feraient voir grain à grain » (Antonin Artaud)
En janvier 1947, une exposition Van Gogh s’ouvre au Musée de l’Orangerie. La vue de ces toiles, la lecture des lettres de Van Gogh à son frère ébranlent Antonin Artaud. Dans les semaines qui suivent, il rédige « Van Gogh le suicidé de la société ». — Texte de voyant. Texte apocalyptique.
« CINÉ-ROMAN ». « CINÉ-PEINTURE ».
L’univers entre dans un processus de déflagration généralisée. La trame de leurs oeuvres se fissure. Disséminées, les touches, les boucles de l’écrit et les hachures du trait forment une matière riche. Dense. Qui ouvre la porte aux audaces de l’art moderne et contemporain… Les Francis Bacon et Cy Twombly, Soutine et Fautrier, Jackson Pollock et Joseph Beuys. Situé sur l’infra-mince lisière entre théorie et fiction, cet essai vagabond nous entraîne - de plateau en plateau - à la suite du Vinci, de Gilles Deleuze et de bien des personnages qui n’en finissent pas de tournoyer dans les boucles du dessin et de la peinture.
Tirage à 1000 exemplaires numérotés.
ISBN 9782907784283
Couverture quadrichromie à rabats illustrée.
80 pages - Broché - Format : 16 x 24 cm
Illustrations en noir et blanc.
Prix : 15 euros
PRESSE
Vincent van Gogh et Antonin Artaud, singulière confrontation
Le Courrier des auteurs [20 Minutes]
Le Courrier d'une lectrice
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